Théo
« De voir la peine de Pierre-Paul devant la perte de sa fille Marianne, ça m’a fait réaliser comment mon père a dû se sentir quand il m’a perdu, en 1957. Pis je me sens doublement mal, parce que j’ai l’impression que c’est à cause de moi que Marianne est morte. Comme si le meurtrier avait laissé le corps de Marianne devant ma porte pour me faire un message… »